Qu'est ce le gender menstreaming?

 

A l’insu du public est ceci depuis plus d’une dizaine d’années, une nouvelle idéologie est apparu, tout droit sortie des plus hautes instances international  onusienne.

Celle-ci se nommant « Gender Mainstreaming »,  à comme  tâche d’établir au niveau mondial, une législation luttant contre la discrimination des femmes et des minorités sexuelles.

Derrière ces belles paroles humaniste, se cache une idéologie, ayant comme objectifs à court terme, de supprimer  les identités masculine et féminine en tant que tel, pour ainsi dissoudre les rôles propre à chacun des deux sexes. L’idéologie du « Gender » prétend que le genre masculin et féminin  est flexible et qu’il  peut ainsi être choisi. De plus  le caractère normatif de l’hétérosexualité doit être déstabilisé. Le sexe n’étant plus inné mais acquis socialement, il est possible de le modifier et de le faire évoluer ! On ne nait pas femme ou homme, on le devient ! Il sera donc possible de « changer » de sexe, comme on change de chemise

Alors que l’institution familiale constituée d’un père d’une mère et d’enfants est en crise existentiel, au vu des divorces, des infidélités et  des avortements à répétition, voulons nous encore accepter la destruction finale de la famille au nom d’un délire libertarien post-soixante-huitard ? Oui nous allons au-devant d’un désastre social sans précédent qui a comme finalité, la mort des familles et la déconstruction de l’homme et de la femme. Notre société, ayant « tué » Dieu depuis bien longtemps, se met maintenant  à tuer les valeurs moral, dont la  famille, poussé par des fanatique libertins, ne rêvant qu’a une société sans règle ni lois.

Pour dissoudre l’identité sexuelle des mœurs il faut l’enseigner la où la conscience est encore fragile. Sur ce point, le gouvernement Suisse a déjà mis en place ce concept pervers par l’intermédiaire des directeurs cantonaux de l’instruction publique et par l’entremise du centre pédagogique de Suisse. Le concept « harmos » aidera à la propagation de cette idéologie dans tout le territoire sans que le citoyen ne puisse dire un mot.   

Que cela soit les pères, les mères, les enseignants, les 
 politiciens, et l’Eglise, il est plus que temps de réagir et de mener la fronde face à ce concept malsain, enseigné dans les écoles publique Suisse. Soyons plus qu’attentif à cette vague trompeuse est perverse qui déferle dans notre pays. Ne  laissons pas cette philosophie criminelle et libertine s’infiltrer dans les mœurs de nos enfants !  Levons nous avant que la perversité ne soit à son comble ! Levons nous avant que cela ne soit trop tard !