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lundi 2 juillet 2012

Non aux meurtres d'enfants


Dans La Liberté du 10 mai 2012, M. Bertrand Fischer, vous écrivez en titre : «Pas question de ne plus rembourser l’avortement ». Permettez-moi de changer votre titre par : «Pas question de financer le meurtre de 11’000 enfants chaque année en Suisse !». 
Chaque trimestre, je paie bien cher ma caisse maladie pour couvrir des prestations de soins et de santé. Je me pose sérieusement des questions concernant l’utilisation de mes cotisations.
Depuis quand tuer doit faire partie des services offerts par mon assurance de base? Depuis quand une grossesse est considérée comme une maladie à éradiquer?
Nous vivons réellement une tragédie monumentale. Notre civilisation est devenue cruelle et meurtrière, avec comme principe, d’encourager et pratiquer le plus grand génocide humain de tous les temps. Notre société court tout droit à sa perte !
Avant de me faire lapider par les organisations féministes et pro-avortement pour manque de tolérance envers de «pauvres femmes», j’aimerais faire remarquer qu’un grand pourcentage des IVG n’a rien à voir avec la vie et la santé des mères. Dans la majorité des cas, l’avortement est pratiqué par pur égoïsme afin de répondre à un désir de confort, de «bonheur», et pour protéger l’immoralité sexuelle ambiante de notre soi-disant société «moderne et civilisée».
C’est pourquoi, je ne peux accepter que l’argent gagné à la sueur de mon front soit utilisé pour un holocauste qui ressemble drôlement à celui des nazies d’autrefois !

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