Dans La Liberté du 10 mai 2012, M. Bertrand Fischer, vous écrivez en titre : «Pas
question de ne plus rembourser l’avortement ». Permettez-moi de changer votre titre par : «Pas question de
financer le meurtre de 11’000 enfants chaque année en Suisse !».
Chaque trimestre,
je paie bien cher ma caisse maladie pour couvrir des prestations de soins et de
santé. Je me pose sérieusement
des questions concernant
l’utilisation de mes cotisations.
Depuis quand tuer doit faire partie
des services offerts par mon assurance de base? Depuis quand une grossesse est
considérée comme une maladie à éradiquer?
Nous vivons
réellement une tragédie monumentale. Notre civilisation est devenue cruelle et
meurtrière, avec comme principe, d’encourager et pratiquer le plus grand génocide
humain de tous les temps. Notre société court tout droit à sa perte !
Avant de me
faire lapider par les organisations féministes et pro-avortement pour manque de
tolérance envers de «pauvres femmes», j’aimerais faire remarquer qu’un grand pourcentage des IVG n’a
rien à voir avec la vie et la santé des mères. Dans la majorité des cas, l’avortement est pratiqué par
pur égoïsme afin de répondre
à un désir de confort, de «bonheur», et pour protéger l’immoralité sexuelle
ambiante de notre soi-disant société «moderne et civilisée».
C’est pourquoi,
je ne peux accepter que l’argent gagné à la
sueur de mon front soit utilisé pour un holocauste qui ressemble drôlement à
celui des nazies d’autrefois !
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