Une étude scientifique parue
au début de l’été remet radicalement en cause la ligne officielle qui prévalait
jusqu’ici accréditant la thèse selon laquelle il n’y aurait aucune différence
en terme de santé mentale entre les enfants élevés par des couples homosexuels
et ceux qui le sont par des parents hétérosexuels[1].
"Le lobby homoparental
s’appuie sur des études qui, dans leur quasi-totalité, ne sont que
pseudo-scientifiques. L’intoxication est suffisamment bien faite pour que tout
le monde soit convaincu que ces études prouvent que les enfants élevés par les
parents homosexuels vont bien. Pourtant, il suffit de se donner la peine de
vérifier la nature des travaux cités pour comprendre leurs faiblesses
méthodologiques et leurs biais de recrutement des groupes étudiés [1]». L’auteur de cette
charge sans concessions ne saurait laisser nos responsables politiques
indifférents au moment où ils s’apprêtent à ouvrir l’adoption, voire
l’assistance médicale à la procréation, aux personnes homosexuelles. Maurice
Berger est en effet professeur de psychopathologie de l’enfant, chef de service
de psychiatrie de l’enfant au CHU de Saint-Etienne et membre de plusieurs
commissions interministérielles concernant la protection del’enfance. -> http://enfantsjustice.wordpress.com/2012/10/14/discredit-scientifique-sans-appel-contre-lhomoparentalite-1-quart-23-des-enfants-abuses-sexuellement/
« No difference ». Telle était la sempiternelle conclusion de l’ensemble
des travaux Outre-Atlantique comparant l’épanouissement psychique des enfants
issus de couples homosexuels et hétérosexuels. Un célèbre article de la
psychologue Charlotte Patterson de l’Université de Virginie recensant au début
des années 90 près de 30 études allant toutes dans le même sens représentait
l’argument scientifique infaillible pour faire taire les opposants à
l’homoparentalité et tenter d’influencer les choix politiques jusque dans les
enceintes internationales[1]. Reprenant la compilation de Patterson, une
seconde enquête publiée en 2005 par la prestigieuse American Psychological
Association (APA) concluant qu’« aucune étude n’a montré que les enfants de
parents gays ou lesbiens étaient désavantagés par rapport aux enfants de
parents hétérosexuels » fut ainsi versée au dossier de l’affaire E.B. c. France
par les lobbys gays et lesbiens pour défendre l’adoption « homoparentale »
devant la Cour européenne des droits de l’homme[2].
Les recherches du professeur Mark Regnerus de l’Université du Texas
tordent le cou à ce discours convenu en s’appuyant sur l’examen de 3000 enfants
devenus adultes éduqués au sein de 8 structures familiales différentes à partir
de 40 critères sociaux et émotionnels[3]. Les résultats les plus positifs
concernent les adultes provenant de familles « traditionnelles » qui se disent
plus heureux, sont en meilleure santé mentale et physique et consomment moins
de drogues que les autres.

Ces travaux sont d’autant plus intéressants qu’ils viennent contredire
la théorie en vogue chez certains psychanalystes qui ont mis l’accent ces
derniers mois sur l’importance de la « triangulation psychique », c’est-à-dire
le fait d’avoir deux parents homosexuels plutôt qu’un seul parent hétérosexuel,
pour assurer une croissance normale de l’enfant.(…)"
Source:http://enfantsjustice.wordpress.com
Source:http://enfantsjustice.wordpress.com
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